On peut oublier à quoi ressemble le soleil, mais pas sa lumière chaleureuse aperçue un jour.

Non-binaire, ce qui veut dire qu'il ne se sent ni homme et ni femme, ou se sent justement les deux. De ce fait porté des vêtements féminin ne le dérange pas, il trouve même cela normal au même titre que l’habillement masculin.


Mardi 4 avril 1989 à 9:15 (28 ans)
Bélier, ascendant Gémeaux, signe lunaire Poisson.

Chine. ville de Hangzhou, capitale de la province chinoise du Zhejiang.


Chinoise.

Un papa maître d’un dojo d'arts martiaux. Une maman couturière. Un grand-père paternel décéder. Une grand-mère paternelle qui a grandement contribué à l’éducation de ses petits-enfants. Une petite sœur de 16 ans désirant percer dans la mode, son pouvoir c’est récemment éveiller de ce fait elle a rejoint l’académie il y a peu. Et enfin, un jumeau de 28 ans successeur du dojo familial. Luo, le cadet de Zhúzi, ne connaît pas encore son don, ce dernier ne s'étant pas encore éveillé.


Surveillant.

Des études pour être professeur d'Arts Martiaux effectué en Chine, suivie d’une formation militaire dans l’armée chinoise.

Surveillant, ex-prof d’art martiaux et qu’ex-militaire chinois.

Zhúzi a grandi dans une famille modeste et aimante, un foyer tout à fait ordinaire avec ses hauts et ses bas. Il n’a jamais manqué d’amour ou d’attention, en bref il eut une enfance heureuse.

Ses relations avec sa famille sont très bonne. Il est surtout proche de son jumeau, il n’y a pas un jour sans qu’il ne se parle au téléphone.

Zhúzi à découvert son don lorsqu’il eut 8 ans, d’une fassent bien tragique, un accident, un réveil arriver au mauvais moment lui dise jusqu’à aujourd’hui sa famille. Ce jour-là avait commencé comme n’importe quel autre jour, la même routine, les mêmes habitudes, jusqu’au moment où son grand-père paternel qui lui flattait la tête s’écroule sous ses yeux pour ne plus jamais se relever. Le cœur vieux et rendue faible par l’âge avait lâché sous l’électrisation incontrôlée.  

Sa famille aurait pu se réjouir, son père être remplie de fierté, mais ils furent horrifié par l’incident.

 À l’âge de 8 ans. Zhúzi a vécu cela comme une promesse de délivrance et un déchirement car cela voulait dire s’éloigner de sa famille.  

Ce monde a toujours existé pour lui, il y baigne depuis sa naissance.

Le réveil de son don a grandement impacté sa vie, n’ayant aucun contrôle sur son pouvoir Zhúzi s’était volontairement isolé des autres et de tout contact physique pour ne pas électriser autrui par accident. Et parfois son don se retourner contre lui lorsqu’il était trop stressé ou faisait une crise d’angoisse. Son père, dont il a hérité le don, l’avait aidé comme il avait pu pour canaliser son don jusqu’à ce que Zhúzi eut l’âge requis pour entrer à la Merille Academy.



Une scolarité tout à fait ordinaire, qu’il appréciait puisqu’il était dans la même classe que son jumeau. À l’éveil de son don, Zhúzi à demander à être scolarisé à domicile.


Zhúzi y est entré au collège et y est resté jusqu’à l’obtention de son BAC. Au collège, en option il avait choisi couture se débrouillant pas mal dedans, au lycée ce fut cuisine sentant l’indépendance pointer le bout de son nez. Pour ce qui est du cursus, Zhúzi avait choisi la série Économique et Social, spécialité mathématique renforcée.

Toutes ces études pour finalement rien, excepter les options, puisque ses études supérieures n’eurent aucun lien avec ce qu’il avait étudié.

Dès son BAC obtenue, Zhúzi était directement retourné chez lui afin d'y faire ses études supérieures. Il avait en tête de reprendre le dojo familial d’où des études pour être professeur d’arts martiaux, après presque deux ans dans ce métier Zhúzi raccrocha décidant de laisser la succession à son jumeau. Ne voulant pas refaire des études il s’était engagé dans l’armée et y est resté cinq ans.

Après avoir rendu son tablier de militaire, il postula pour être surveillant à la Merille Academy. Il a choisi ce métier afin d’aider les jeunes à maîtriser leur don et de leur apporter le meilleur environnement possible pour leur épanouissement, beaucoup disent qu’instituteur c’est aller se faire mettre, lui, ne regrette pas son choix. Zhúzi est un surveillant intransigeant concernant le règlement au sein de l’établissement, Il est également un pédagogue calme, le genre d’éducateur qui peut réexpliquer dix fois la même chose avec la même douceur et le même calme sans perdre patience que cela soit pour les études ou la maîtrise de don. Zhúzi est dévoué à son devoir et ne perd jamais son optimisme aussi récalcitrant soit l’étudient.

Il privilégie les iotas et les omégas, car ils sont ceux qui ont le plus besoin d’aide. Ensuite les Alpha et pour finir les étoiles.

Durant sa scolarité, Zhúzi était un bon élève, l’un des meilleurs de sa classe, mais la maîtrise catastrophique de son pouvoir la fait rester dans la classe Iota tout le collège. Au lycée, il était toujours un élève assidu et il avait appris à maîtriser son don, mais Zhúzi était tout de même resté dans la classe Iota. Pourquoi vous vous demanderez ? Dès qu’un prof le félicitait pour ses bonnes notes et sa maîtrise de son don lui disant que s’il continuait comme ça, il pourrait passer en classe Alpha, systématiquement ses notes devenaient catastrophiques ou limite passable (excepter en sport) et son pouvoir soi-disant perturbé.

Pourquoi tout ce cinéma, risqué son année, son avenir, vous allez dire ? La réponse est toute simple, Zhúzi voulait simplement rester dans la même classe que son crush.


 Il a voyagé un peu partout en Asie avec sa famille durant son enfance. Il lui est aussi arrivé de voyagé dans le cadre Professional, Zhúzi reste discret à ce sujet, confidentialité professionnel.  


Il a beaucoup pleuré durant le trajet, chagriner de se séparer de sa famille, sinon le reste tout c’était bien passé.

Ce ne fut que deux semaines, en plein cours qu’il s’était rendu compte que c’était un train magique.


Dans sa jeunesse c’était pour maîtriser son don et ne pas blesser ses proches. Aujourd’hui c’est pour venir en aide aux jeunes ayant du mal avec leur don tout comme lui à leur âge.


Sa vie sur l’île est relativement bien et paisible, il habite dans le quartier culturel pour son calme et pour avoir suffisamment d’espace pour tout ce qu’il ramène chez lui. Zhúzi à un peu tout explorer et par déformation professionnel il trouve que certain lieu peuvent être de très bon point stratégique, il trouve cella amusant et bizarre que beaucoup de noms soient des noms de pierre précieuse, de minéraux ou lier à la mythologie grec.

Il aime beaucoup les traditions, notamment celle des danses coralliennes.


Il a deux avis à ce sujet, qu’il garde pour lui-même. Mais très personnellement il trouve que cette souris taille de façon puérile, immature, que ses rumeur manque de pertinence et sont tout bonnement de la méchanceté gratuite pour la plus part. Il est facile d’inventé n’importe quoi sur internet et encore plus facile d’attaquer quelqu’un derrière un écran.  

Zhúzi ne croît pas les rumeurs sans preuves valable, irréfutable. Faire des spéculations et des hypothèses est facile, même un gamin de cinq ans peut le faire tout comme crée une histoire de toute pièce ou déformer la réalité, bien que cette dernier soit propre à chacun.  

Il est d’accord avec la souris sur une seule chose, les dirigeants des lieux sont des vieux pas nets.


Non, Zhúzi ignore l’existence du port secret et des disparitions. Il y aurait de quoi le faire mourir d’inquiétude.  

Zhúzi ne connaît que le directeur pour qui il travaille, enfin connaître est un bien grand mot, leurs relations se limitent à une relation professionnelle sans plus.

Il trouve que ce sont un Maire et un Directeur admirable et faisant plus ou moins correctement leur travail, mais en tant qu’individu, il ignore ce qu’ils valent.

À vrai dire, il se méfie d’eux.

Ses années dans l’armée lui ont appris une chose indéniable, les hauts graders et les dirigeants ne sont jamais nets, toujours à œuvrer pour leur intérêt.  



Zhúzi aime et déteste cela à la fois. Il n’a aucun souci avec les quêtes se passant exclusivement sur l'île de Corail, bien qu’il se pose des questions sur certaines. Ce qui l’inquiète ce sont les missions, et au vu de ce qu’il y a sur les panneaux d'affichage, Zhúzi se fait violence pour ne pas débouler dans le bureau du Directeur pour demander des explications. Il a l’impression que les étudiants sont exploités ainsi que les membres du personnel qui doivent accompagner ces derniers, telle des mercenaires…cela est le cas à ses yeux et ça ne l’étonnerait pas que certaines personnes touchent une somme faramineuse derrière tout en récoltant diverses informations.

Les véritables questions sont : pourquoi soudainement proposer cela, et que gagne le directeur en faisant ça ? L’école a déjà excellente réputation et Zhúzi ne croit pas que c’est pour rendre simplement service. Et le maire qui ne dit rien dans tout cela.

Tout cela renforce sa méfiance envers le directeur et le maire.

Rien n’est imposé, les étudiants choisissent de leur plein gré d’effectuer ces missions ou Quêtes alors Zhúzi ne dit rien pour l’heure, bien que tout cela le dérange et le tracasse beaucoup. Mais il aimerait bien savoir si les parents des étudiants sont au courant de tout ça.

L’idée que l'île soit une sorte de centre expérimental géant ou un centre de recherche sur les dons l’effraye au plus haut point.


-La mort de son grand-père lié au réveil de son don. Zhúzi se sent toujours responsable de sa mort.

-La première fois qu’il a vu son crush, un coup de foudre. À ce moment Zhúzi, adolescent, eut le sentiment qu’il pourrait tout faire pour le bonheur de cette personne.

-La première fois qu’il a dépassé ses limites lors d’une mission périlleuse dans l’armée. Cela lui a valu plusieurs brûlures sur son corps ainsi qu’interne, son foie fut grandement toucher et a nécessité une opération d’urgence plus de la moitié avait dû être retiré. Les dommages s’étaient étendue jusqu’à ses yeux le rendant aveugle les trois premiers jours qui en suivie,  aujourd’hui ils sont légèrement sensible à la lumière, cela aurait pu être pire. Ses jambes avaient également souffert lui valant une rééducation de huit mois. Sans parler des autres contres coût tel le fait d’être resté paralysé un mois entier dans un lit d’hôpital avec la foi inébranlable qu’il allait le resté toute sa vie.  

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