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I- Salut, j'suis ton coloc ! Ah, Adsila ? T'inquiètes, c'est un loup mais... un loup gentil ! [PV : Mady ~]

Neal Malo
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I- Salut, j'suis ton coloc ! Ah, Adsila ? T'inquiètes, c'est un loup mais... un loup gentil ! [PV : Mady ~] Mar 19 Jan - 19:18

Adsila est assis et tu es roulé en boule entre ses pattes, sur un lit de mousse que tu remercies du regard de t'accueillir avant de t'étirer comme un chaton avec un grand sourire. C'est que tu as bien dormi ! Tu sens plus que tu n'entends ton ami grogner et tu remarques que Ammaruq est accroupi, entouré du reste de sa famille allongée, à quelques quatre mètres de vous. Et en contrebas. Tu comprends que ton ami a grogné en voyant le tapis de mousse disparaître et laisser place à ta couverture, tu comprends par la même que tu es dans ton lit que tu as fraîchement déménagé, aidé par Ammaruq qui s'est occupé de renforcer et sécuriser tous tes meubles en bois. Le fait d'y penser te fait sauter hors de ton abri mais tu te retrouves au point de départ, une patte de ton ami sur ton buste et un oeil qui te regarde d'un air que tu connais pour avoir souvent le même avec Louane. Tu lui fais alors un grand sourire.

- Coucou Adsila ! Lances-tu à la cantonade, serrant sa patte de ta main pour le saluer. Comment va ta vie, bien ou bien ? Dis, est-ce que tu penses que tu peux me laisser sortir du lit pour déballer les cartons ?

Le grognement de refus que tu entends te semble presque accompagné d'un sourire taquin, moqueur, interprétation confirmée par Ammaruq qui glousse en contrebas. Han ! Il le prend comme ça le Adsila ?! Délibérément, tu croises tes bras sur ton torse et fermes les yeux en faisant le mouvement de tête caricatural pour parfaire le tableau. Tu lèves une paupière en sentant la famille en bas se redresser.

- N'en fais pas trop. Te dit-il simplement, de sa voix tranquille et posée.

Tu comprends qu'il ne s'adresse pas qu'à toi et ta moue boudeuse disparaît, remplacée par un sourire. Tu lui lances un regard éloquent et reconnaissant avant de cligner des yeux et de dévaler la petite échelle métallique menant à ton lit sous l'oeil expert d'un Adsila qui se penche à outrance, lâchant des grognements quand il estime ton geste précipité, avant de se laisser tomber au sol. Tu te tournes aussitôt vers lui, outré.

- COMMENT ÇA TU AS LE DROIT DE SAUTER D'EN HAUT ET PAS MOI ?!

Pour toute réponse, il s'assoit et émet un aboiement fier et satisfait.
Tu es même convaincu qu'il se fiche de toi et qu'il vient de te ricaner au nez.

- Han ! Tu le prends comme ça ?! C'est à peine haut d'un mètre quatre-vingts, en plus ! MÊME PAS DEUX MÈTRES !

Il te regarde d'un oeil éloquent, un "Et alors ?" ou "Qu'est-ce que ça change ?" aussi fraternel que protecteur, et tu émets un "Humpf !" passablement outré. Tu secoues vite la tête et te tournes vers Ammaruq, qui t'attend patiemment à l'entrée de la chambre. Tu accours vers lui pour l'étreindre chaleureusement, remarques qu'il lui faut bien trois secondes avant de te rendre ton câlin mais tu ne commentes rien.

- Merci pour ton aide, Amma, vraiment ! Et pour le repas, aussi, il était excellent !

Son étonnement passé, il se contente de te sourire en hochant la tête et de partir. Tu souris à ton tour. Concis mais foisonnant, comme toujours. Tu le regardes s'en aller, remarquant que sa famille est déjà partie et que Adsila n'a visiblement pas l'intention de bouger son arrière-train jusqu'à nouvel ordre. Tu te tournes vers lui et tu lui fais un énorme sourire de douilleur.

- Mooooooooh, le pauvre petiiiiiiiiit... J't'ai tant manqué que ça ? Lui lances-tu avec un ton outrageusement et faussement désolé.

Il te répond par un jappement affirmatif et sérieux, qui te fait éclater de rire au vu du décalage. Il penche alors sa lourde tête de côté, amusé, et tu te mets à déballer tes cartons jusqu'à retrouver ton bureau et ses étagères pleines de livres avec un sourire satisfait. Tu remarques que ton ami ne se déplace que pour garder un oeil braqué sur toi et qu'une de ses oreilles est toujours orientée vers toi. Tu souris silencieusement... et décides de faire une pause en venant lui sauter dessus et chahuter dans un no-man's-land sur le plancher. Tu remarques une présence seulement quand les crocs d'Adsila sont autour de ton cou et qu'il tient ton corps entre ses pattes comme s'il était sur le point de l'expédier contre le mur et de jouer avec ta tête avant de la gober... ou jouer au golf avec ( tu tais les nombreux questionnements qui t'assaillent alors ). Si la scène est violente vue de l'extérieur, ton ami ne te fait absolument pas mal - tu doutes qu'il en soit capable. Quand tu as remarqué la présence brune, tu t'es figé et Adsila aussi. Le tableau que vous donnez doit être soit effrayant soit hilarant. Voire un mélange des deux vu comment la situation est improbable. À moins qu'elle ne soit arrivée bien avant et que ton ami se moquait de toi en comptant les secondes qu'il te faudrait pour la remarquer. Bref.

- Salut beauté, j'suis ton nouveau coloc ! Ça va comme tu veux ? Lâches-tu d'une voix suave, Adsila ne semblant pas décidé à bouger alors tu ris. Eh, tu peux me lâcher please* ? Ça tire un peu là.

Totalement faux mais tu fais juste remarquer à ton ami que la contorsion que fait actuellement ton corps n'est pas faite pour durer. Il te lâche et tu retombes contre son ventre, tandis qu'il s'allonge sur le flanc et replie toutes ses pattes pour te maintenir contre lui en jetant un oeil méfiant à la présence brune. Tu te contentes de rire tant sa protection est adorable et il émet un jappement tout mimi.

- Mooooooh, il est timiiiiiiiiii-...

Il t'interrompt en aboyant, un aboiement bref mais aussi menaçant qu'efficace en terme de prévention. Tu éclates franchement de rire. C'est qu'il aime bien contrarier ce que tu dis en ce moment, le petit - inutile de préciser que, vu ta position, c'est toi qui parais minuscule calé dans la fourrure épaisse de son ventre ! Tu reportes ton regard sur la présence brune.

- Je te présente Adsila le gentil ! Pas sûr qu'elle soit d'accord vu le regard du "tu t'approches, j'te bute", constat et non menace, qu'il lui lance. Tu ris. T'en fais pas, c'est un loup très gentil ! J'm'appelle Neal, au fait. Et toi ?

Wow, il faudrait déjà que tu t'arrêtes pour laisser du temps à la demoiselle de digérer ce qu'elle se prend dans la tronche... Tu scelles tes lèvres alors que tu t'apprêtais à l'avalancher de questions. Si elle arrive déjà à te suivre... soit elle est incroyable, soit incroyablement habituée à l'anormalité, soit incroyablement patiente, soit incroyablement douée pour masquer ses états d'âme, soit tu es incroyablement inattentif.

C'est officiel.
Neal la Tornade... est de retour.

* Prononcé avec un accent londonien tip top perfect, le genre d'accent qui te fait dire "ok, toi t'es pas français", à tort ou à raison. Paradoxal vu que le français de Neal est sans accent.
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Re: I- Salut, j'suis ton coloc ! Ah, Adsila ? T'inquiètes, c'est un loup mais... un loup gentil ! [PV : Mady ~] Mar 26 Jan - 1:50



Salut, j'suis ton coloc !
« J'en ai vu des choses. J'en ai rencontré des gens. Mais toi, t'es un cas unique ! »
Ft. Neal Malo  (Dimanche 11 septembre 2016)




L'eau coulait le long de sa peau légèrement rougie par la chaleur.
Les yeux fermés, elle profitait du silence qui régnait dans les douches à cette heure-ci de la journée.
Que ça fait du bien, d'ainsi se détendre après une longue et pénible nuit. Une nuit agitée, la faute à un sommeil tardif suivit d'un sublime cauchemars.
La brune était marquée, marquée sous ses yeux, marquée par la douleur qui s'accrochait à ses épaules comme un bébé singe s'accroche à sa mère.

Long soupire.

Elle passe une fois de plus sa main dans ses longs cheveux acajou, veillant à enlever ce qui lui reste d'après-shampoing, avant de couper l'eau.
Il est temps pour elle qu'elle retourne dans sa chambre. Aujourd'hui doit débarquer son nouveau colocataire, d'après ce qu'on lui a dit, et ce serait dommage de ne pas être là et prête pour l'accueillir comme il se doit. Après tout, il va devoir la supporter... Alors... Bref. Si ça de trouve, peut-être qu'il est pire qu'elle ? Qui sait, ce serait chouette. Mieux qu'un coincé qui se cache sous son lit dès qu'on lui adresse la parole. Pas que ça dérange l'alpha en soi, il faut de tout pour faire un monde, mais c'est toujours mieux d'avoir un colocataire avec lequel il est facile d'échanger plus de deux mots.

Elle est curieuse, Madyson. Curieuse de découvrir qui va partager sa chambre. Alors elle s'essuie, enfile ses sous-vêtements et un peignoir par-dessus. Puis elle quitte les douches pour retourner dans sa chambre, se moquant ouvertement de se promener dans les couloirs de cette façon. C'est pas comme elle était nue non plus. Quoique... Les réactions pourraient être amusantes. Mais bon, les surveillants ne la laisseraient sûrement pas faire. Dommage.

Plus que trois pas... Deux... Et, hein ?
La jeune femme se fige, main sur la clinche, entendant du bruit à l'intérieur de la chambre. Quoi ? Il est déjà arrivé ? Mince.
Doucement, elle ouvre la porte et pénètre dans la pièce.
Et elle se fige une nouvelle fois.
Pourquoi... est-ce... qu'il... y a... un loup... dans sa chambre ?
POURQUOI EST-CE QU'IL Y A UN LOUP DANS SA CHAMBRE ?
Il n'y a qu'elle que ça choque ? Bah visiblement oui. Parce qu'il n'y a qu'elle ici... Et ce loup... Et un jeune homme qui vit sa meilleure vie... Apparemment.
Madyson cligne des yeux, referme doucement la porte derrière elle, mais ne dit rien, à la fois intriguée et passionnée par le spectacle qui s'offre à elle. Un léger sourire étire ses lèvres alors que ses bras sont croisés sur sa poitrine.

Il faut un moment pour que les deux individus remarquent sa présence. Dès que leurs yeux se posent sur elle, elle ouvre davantage les siens, hausse les sourcils, tant à dire "Eh bien, enchantée aussi ! Tout vas comme vous voulez ?". Vous savez, comme une mère qui se pose, épaule contre le mur, bras croisés et qui vous demande des explications sans même ouvrir la bouche ? Eh bien c'est pareil. Sauf que Madyson n'est pas une mère et qu'elle n'est pas sur le point de disputer qui que ce soit.

Beauté ? Parce qu'elle est censée être belle avec ses petites cernes sous les yeux, ses cheveux encore mouillés et son peignoir ?

▬ Salut ! Je te retourne la question...

Non parce que ce n'est pas tous les jours qu'elle surprend son nouveau colocataire dans la gueule d'un loup géant !
Mais elle avait parlé d'un ton amusé, sans doute parce qu'elle ne savait pas encore trop comment réagir face à cette situation pour le moins... improbable ? Oui, c'est exactement ça.

L'alpha regarde le jeune homme, puis le loup. Gentil hein ? En supposant que les apparences soient trompeuses. Parce que là tout de suite, la bête n'est pas très encourageante. Pas comme il y a quelques secondes.

▬ Eh bien, ravie de vous connaître, Adsila et Neal. Moi c'est Madyson ! Mais Mad ou Mady suffira.

Elle leur adressa un sourire amical, commença à s'avancer dans la chambre afin de rejoindre son armoire.

▬ On m'avait dit que j'aurai un nouveau colocataire, pas deux, c'est cool !

Elle rit un peu, fouillant ses affaires à la recherche de quelque chose à enfiler.

▬ Ça fait longtemps que tu es là ? Enfin, vous ? Je suis désolée, si j'avais su que je ne serais plus seule dans cette chambre aussi tôt, je me serais préparée plus tôt pour vous accueillir correctement. Là je ressemble à rien et je ne vous ai même pas vu arriver !

Quelle impolitesse, c'est limite honteux.
Oh, ah ben voilà. Une chemise longue, c'est parfait ! Parfait pour traîner au lit un dimanche matin. L'alpha enleva son peignoir, pas gênée pour un sou de se retrouvée en sous-vêtements face à "ces inconnus". Et, tout en les regardant, et en enfilant sa chemise, elle décide de proposer son aide. Car c'est une gentille Madyson.

▬ Tu veux un peu d'aide pour tes affaires ?


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Re: I- Salut, j'suis ton coloc ! Ah, Adsila ? T'inquiètes, c'est un loup mais... un loup gentil ! [PV : Mady ~] Dim 31 Jan - 22:36

Tu as laissé couler quand elle te renvoie la question, de une parce que ton rire est suffisamment éloquent pour faire comprendre que tu vas bien, de deux parce qu'il est urgent de demander à Adsila de te relâcher. Ce qu'il finit par faire... enfin, pour mieux t'emprisonner entre son ventre et ses pattes ; ton regard et ton sourire s'attendrissent immédiatement. Oui, définitivement, Adsila est très gentil. Il va seulement falloir que tu captes qu'il ne l'est qu'avec sa famille, dont tu fais partie. Tu passes une main dans tes cheveux, soupirant légèrement mais longuement sans cesser de sourire.

- Eh bien, ravie de vous connaître, Adsila et Neal.

Tu n'es pas sûr qu'elle soit si ravie que ça vu sa manière de capter la menace de ton ami mais ta pensée parvient à rester telle quelle, pour une fois. Tu ferais presque une danse de la joie... si tu en avais la possibilité, en tous cas. Ta main fourrage encore tes cheveux avant de s'arrêter tandis que tu écoutes toujours... Madyson, donc.

- Moi c'est Madyson ! Mais Mad ou Mady suffira.
- Ça marche, Mad*.
réponds-tu simplement.

C'est en répondant d'un sourire chaleureux à son sourire amical que ta vision de photographe s'active et... tandis qu'elle avance vers son armoire, tu as le temps de te téléporter devant ton bureau, prendre ton appareil numérique et la mitrailler. La demoiselle dégage un certain charme, 'faut dire. Et, comme tu l'as souligné en la saluant, c'est une beauté. Ça n'en aurait pas été une que tu aurais continué de chahuter avec ton ami sans remarquer sa présence - enfin, jusqu'à ce que Adsila t'y oblige. Tu ne réagis pas à son humour quant à ses colocataires mais ne relève pas plus, ou d'un simple sourire là où tu aurais ri si tu n'avais pas été aussi concentré. Sans cesser de l'écouter, tu te téléportes à nouveau devant ton bureau, ton regard acéré s'affinant au fur et à mesure que tu tries tes idées.

Tu prends ton sac de tous les jours puis tu te téléportes sur l'échelle menant à ton lit, pieds sur le dernier barreau. Avec des gestes calmes et précis, tu sors puis assembles ton trésor en caressant les pièces avec une tendresse désarmante. Cela fait, tu prends un cliché d'elle et tu souris au résultat. Beaucoup mieux. Le numérique ne peut décemment pas faire honneur à de pareilles teintes au vu de la lumière dont la chambre dispose, il n'y a que ton appareil professionnel qui peut avoir la qualité que tu recherches. Non que la lumière soit trop tamisée ou trop forte, juste que ton appareil numérique n'a pas assez de précision pour les idées de photo qui s'amoncellent dans ton esprit, d'une manière étonnamment ordonnée. Tu continues de te téléporter çà et là autour d'elle, comme une ombre, et de la prendre en photo. Il n'y a qu'une phrase qui te fait réagir, un sourire aussi amusé que "tu ne te vois pas de façon très claire, beauté" naissant sur tes lèvres.

- Là je ne ressemble à rien et je ne vous ai même pas vus arriver !
- Je n'appelle pas beauté quelqu'un qui ne ressemble à rien.
réponds-tu du tac au tac, le plus naturellement et sérieusement du monde.

Tu continues de la mitrailler, t'adaptant parfaitement à ses gestes, ne te formalisant pas plus qu'elle de sa tenue. Et en plus elle regarde dans ta direction... tu en tires alors trois clichés parfaits. P a r f a i t s. Tu t'arrêtes là et t'assois par terre avec un sourire extrêmement satisfait, ne remarquant pas le regard outragé que Adsila te lançait jusque là disparaître. Au contraire, il s'assoit derrière toi et pose sa tête sur ton épaule pour regarder les photos que tu as prises, les approuvant d'un jappement plus ou moins joyeux. L'avant-dernière a sa totale approbation, sa queue balayant le sol et ses oreilles dressées en étant la preuve. Tu souris et lui gratouilles la tête. Et... tu as totalement zappé sa question. Et que tu ne lui as pas demandé sa permission, au passage.

- Ah j-... Eh... Erhm. Je ne m'excuserai parce que j'suis absolument pas désolé mais... t'es vraiment une beauté. Je ne photographie pas les gens inintéressants de toutes façons. Dis-tu, ponctuant ta dernière phrase d'un haussement d'épaules avant de sourire. Yup, ça va comme je veux ! Et je t'arrête de suite, Adsila ne vit pas du tout ici. Il m'a juste aidé à déménager mes affaires et... d'ailleurs... t'inquiètes, j'ai déjà fini de m'installer. 'fin, il faut juste que je sorte deux trois bricoles et que je remette mon rideau de perles et de scoubis. Quand tu peux te téléporter, un déménagement est de suite plus simple ! Finis-tu en riant de bon coeur.

Tu poses ton sac quotidien à côté de toi, l'ayant enfilé dans ton dos par pur réflexe, et tu sors un carnet où tu griffonnes l'agencement des photos quand tu les imprimeras. Tu choisis assez vite le papier et le format, puis tu agences le tout, notant les références des images en étant dans une bulle de concentration qui peut être... hm... étonnante.

- D'ailleurs, j'te préviens... eh... t'étonnes pas si je disparais ou apparais brusquement, mon don fait sa vie. Et si on a le malheur d'être en contact, y a des chances pour que je te téléporte avec moi sans le vouloir. Expliques-tu, un sourire d'excuses aux lèvres même si tu ne dévies pas de ton travail actuel.

Et si le destin est une pute, le premier endroit où tu la téléporteras sera le Mont Amarante. Tes paupières se ferment tandis que Adsila regarde toujours ton travail et les esquisses, tête légèrement penchée de côté. Signe qu'il aime bien ce que tu envisages. Ah, quand on a l'approbation d'un loup, de suite on devient hermétique à tout doute ou critique infondée et/ou négative. Tu secoues la tête, ouvres les yeux et continues ton esquisse.

- Au fait, reprends-tu naturellement, tu prends des photos avec quoi ?

Tu as vu les photos sur son coin de chambre, difficile de les ignorer, et ta curiosité est enclenchée. Vu le matos que tu as, le fait que tu es passionné par la photo est évident. Tu t'arrêtes dans ton esquisse, faisant faire la balance de manière très rapide à ton critérium entre ton index et majeur gauches. Est-ce que ça vaut vraiment le coup de mettre cette photo en premier-plan ? Hm... le mieux aurait été d'avoir cette scène dans un autre paysage. Tiens, pourquoi pas... au Mont Amarante ? Un sourire mi-amusé mi-exaspéré fleurit sur tes lèvres. Va te faire foutre, cerveau.
Madyson S. Avery
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Re: I- Salut, j'suis ton coloc ! Ah, Adsila ? T'inquiètes, c'est un loup mais... un loup gentil ! [PV : Mady ~] Mar 9 Fév - 1:24



Salut, j'suis ton coloc !



Un petit sourire étire les lèvres de l'alpha, presque gênée lorsque son nouveau colocataire affirme qu'elle est bel et bien une beauté. Bavarde, ouverte aux autres, peu pudique, à l'aise avec son apparence, mais une jeune femme quand même. Un petit compliment ne se refuse jamais, pas vrai ? On a beau jouer les personnes humbles et dire "ouais c'est bon, arrêtes", ça fait toujours plaisir.  Madyson n'est pas une exception à la règle.
En revanche, s'il y en a bien une qu'elle ne respecte pas, c'est celle qui dit qu'on n'aime pas trop être photographié sans notre permission. Sans doute parce que ce n'est pas une première pour elle. À croire qu'elle attire les gens chelous et/ou obsédés par l'art. Par la photographie dans le cas présent.

▬ Oh mais je ne m'attendais pas à ce que tu sois désolé. Ça ne me dérange pas !

Ouais. Si ça lui plaît de faire des photos d'elle à l'occasion, qu'il se fasse plaisir. Tant qu'elle n'est pas aux toilettes, elle s'en fiche. Elle jouera le jeu.

Un petit "Oh ? Ok." s'échappe d'entre ses lèvres quand Neal la corrige, avouant qu'Adsila ne reste pas. Dommage, ça aurait pu être cool d'avoir un loup dans la chambre. La tête que feraient les autres tout de même s'ils devaient débarquer sans rien savoir ! Tout le monde n'est pas capable d'agir comme si tout était normal. Pas comme Madyson qui a déjà accepté la présence de ce loup géant. Tout comme elle avait accepté d'avoir un ami avec des cornes sur la tête avant même qu'elle ne découvre l'existence des dotés.
Cherchez l'erreur !
Sans doute un défaut de fabrication.

Puis... Une petite lumière s'illumine.
Ça fait "ting" dans sa tête.
Il vient de lui parler de téléportation là, non ?
Elle ne pose pas directement la question, mais si le jeune homme la regardait elle plutôt que ses papiers, nul doute qu'il aurait compris.
Et, comme si le photographe avait deviné à quoi elle pensait (même s'il n'y avait en réalité aucun lien !), il lui avoue qu'elle peut elle aussi être téléportée en même temps que lui s'ils entrent en contact. Au moment où son don se déclenchera cela dit.
C'est censé lui faire peur ça ? Non parce que là, c'est raté.

▬ Tant qu'on ne finit pas en plein milieu d'une catastrophe !

Elle rit un peu, bras derrière le dos, légèrement penchée sur le côté, observant chaque faits et gestes de son colocataire. C'est un passionné de photographie, ça saute aux yeux.

▬ Tout de même, c'est trop cool comme don ça ! Tu peux te téléporter n'importe où ? Même à l'autre bout du monde ? Non parce que si c'est le cas, je m'accrocherai à toi le plus possible ! Juste pour tester.

Et dire qu'il peut même se permettre de se lever et se préparer au dernier moment. Il lui suffira de se téléporter au bon endroit. Trop de chance !
Elle imagine un tas de lieux, de situations simples comme totalement farfelues dans lesquelles ils pourraient se retrouver...
Mais pas le temps de divaguer davantage : la voix de Neal sort complément Madyson de ses pensées.

▬ Un appareil photo reflex numérique, pour le moment. Mais c'est un simple. Je ne suis pas une professionnelle, même si j'adore la photographie. C'est quand même mon option mineure. Ça m'est utile, tant pour immortaliser de bons moments que des belles choses et m'aider avec certains cours.

Elle sourit doucement.

▬ T'es bien plus passionné que moi ! T'es photographe professionnel ?

Parce que vu son matériel,  c'est plus qu'un simple loisir !

▬ Je peux voir ce que tu as fait ? Ou je vais me faire dévorer avant ?


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Neal Malo
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Re: I- Salut, j'suis ton coloc ! Ah, Adsila ? T'inquiètes, c'est un loup mais... un loup gentil ! [PV : Mady ~] Lun 5 Avr - 12:32

- Oh mais je ne m'attendais pas à ce que tu sois désolé. Ça ne me dérange pas !

Tu tires une drôle de moue à sa première phrase. Justement, tu n’es absolument pas désolé ; le jour où, toi, tu seras désolé, l’humanité aura de sérieux problèmes. Vous voyez le principe des trous noirs ? Un endroit où il y a extraordinairement de la matière en perpétuelle accumulation ? Appliquez ce principe sur les émotions, sentiments et imaginaires et vous avez Neal. Donc si tu en viens à être désolé, à être un désert... eh bien, c’est qu’il y a un sacré dérèglement. Même ta mort ne saurait changer cet état de fait. Concentré sur ta tâche, ta moue disparaît aussi rapidement que ta réflexion, soit un quart de seconde à peine.

- Tant mieux, parce que ça risque d’arriver souvent. Lui réponds-tu avec un sourire dans la voix.

Votre discussion se poursuit, même si tu te figes durant quelques instants et fermes les paupières. Le mont Amarante, hein... Tu l’avais vu, cette nuit, et ce qui t’étreint depuis ce maudit jour n’a pas changé. Un léger sourire étire tes lèvres alors qu’Adsila s’assoit derrière toi et t’installe confortablement contre son ventre, t’entourant de ses pattes et posant sa tête sur la tienne sans que tu ne ressentes son poids. Toujours aussi fin, hein… Un petit jappement joyeux et satisfait répond à ta pensées et tu ris. Tu rouvres les paupières et continues ton esquisse avec la bénédiction d’Adsila, caressant furtivement son oreille d’une main. Tu es content qu’il soit là. Tu te recentres sur ton esquisse avec plus de ferveur, d’ardeur. Plus tu regardes ce que tu fais, plus un projet de plus grande ampleur te saisit. Sur un hochement de tête, tu marques en haut de ton esquisse « Refaire tout sur une feuille A2 ». Tu laisses des cases ou des cercles vides, marques simplement ce que tu voudrais dedans à la place de références d’image. Toute cette joyeuse réflexion a duré moins de deux secondes et tu raccroches facilement les wagons avec Mady, qui semble enchantée par ce que tu lui as révélé sur son don. Enfin, c’est ce que tu devines à sa voix vu que tu as le nez plongé dans ton esquisse.

- Tant qu'on ne finit pas en plein milieu d'une catastrophe ! Te dit-elle donc en riant. Tu souris, un peu.
- Boarf, si t’as pas peur du magma d’un supervolcan ou des terres glaciales de l’Antarctique, c’est tout bon. Lances-tu sur un ton aussi sarcastique que joueur.
- Tout de même, c'est trop cool comme don ça ! Enchaîne-t-elle avec enthousiasme sans te faire ciller. Tu l’écoutes hein, évidemment ; tu es juste concentré. Tu peux te téléporter n'importe où ? Même à l'autre bout du monde ? Non parce que si c'est le cas, je m'accrocherai à toi le plus possible ! Juste pour tester.

Tu lèves enfin tes yeux vers elle, finissant un trait d’un geste expert... avant d’éclater de rire. Sa sincérité est tellement naturelle que tu ne peux agir autrement. Sans compter que tu l’as prise trois fois en photo durant son étalage d’enthousiasme. ... quoi ? Une bonne photo n’attend jamais pour être prise, et tu ne vas pas rater de telles occasions sous prétexte que tu faisais une esquisse. Tout de même. Tu examines tes prises et hoches la tête avec un sourire satisfait. C’est parfait. Tu te replonges dans ton esquisse tout en lui répondant – et en finissant de rire, accessoirement.

- Je t’aime déjà, Mad*, saches-le. Et oui, je peux me téléporter n’importe où ! Bon, quand je suis sur l’île je peux pas me téléporter ailleurs mais... vu qu’il n’y a que le Train qui nous y donne accès, c’est raccord. On se fait un roadtrip quand tu veux, sweetie ! Même s’il y aura des ratés, j’te préviens d’avance...

Ton esquisse finie, tu ranges ton carnet et tes critériums dans ton sac. Tu la reprendras sur une feuille A2 quand tu seras en cours, parce que tu comptes bien faire rentrer ton idée dans un de tes projets annuels qui valent comme un examen de fin d’année. Un sourire satisfait aux lèvres, tu hoches la tête et ranges enfin tout ton matériel. Et tu la relances en même temps, en changeant de sujet parce que tu es comme ça, sous l’ouïe paisible mais acérée de Adsila qui s’est allongé de tout son long sur le sol. Enfin, ton esquisse finie... elle trône désormais sur ton bureau et tu rajoutes quelques idées par-ci par-là au fil de ton rangeage.

- Un appareil photo reflex numérique, pour le moment. Mais c'est un simple. Je ne suis pas une professionnelle, même si j'adore la photographie. C'est quand même mon option mineure. Ça m'est utile, tant pour immortaliser de bons moments que des belles choses et m'aider avec certains cours.
- Voilà quelque chose que je comprends totalement ! Tu es en quelle filière, quelle classe ? Oh si tu veux du matériel plus pro, je peux t’en prêter ! Mais il s’appelle reviens.
Ajoutes-tu en riant.
- T'es bien plus passionné que moi ! T'es photographe professionnel ?
- Eeeeeeh... pas officiellement ?
Fais-tu en lui lançant un regard angélique. Mon maître est un photographe pro, cela dit. Une force de la nature que cet homme. Ses photos se reconnaissent, même de loin ; elles véhiculent toujours un sens, une idée et ont toutes leur identité. Même les photos qu’il fait pour des publicités. Ça j’t’avoue que j’ai du mal. Finis-tu en riant.

Même si, avant d’en arriver à son niveau, il va t’en falloir de l’expérience... Tu le sais mais ça ne t’empêche pas de vouloir griller les étapes. Tout en sachant que tu ne le feras pas, m’enfin bon... Tu étires tes épaules, puis ton cou, puis tes bras et tu la vois en profiter. Qu’en paroles pour l’instant.

- Je peux voir ce que tu as fait ? Ou je vais me faire dévorer avant ?
- NAAAAAAAAAAAAAOOOOOOON !
Répliques-tu immédiatement avec un timbre enfantin à souhait, ta voix partant naturellement dans les aigus. J’ai pas fini lààààà ! Je te montrerai le projet final, évidemment, mais pas les esquisses ! Ajoutes-tu en gonflant les joues comme un gamin boudeur.

Ton jeu aurait pu être hilarant si tu jouais, or ce n’est pas le cas. Tu as réagi de manière totalement naturelle, ce qui peut rendre le tout plus hilarant d’ailleurs. Tu décroises tes bras avant de sortir la carte mémoire de ton appareil et tu vas pour ouvrir ton ordi-... pas sur le bureau ? Tu montes dans ton lit et vas voir sur la petite table que tu t’es traf-… pas là non plus. Assis en tailleur sur ton lit, tu réfléchis, perdant toute gamineté.

- Bon, j’peux te montrer les photos... quand j’aurais retrouvé mon ordinateur.

Tu redescends et commences à fouiller dans les cartons, tout en étant positivement sûr qu’il n’y est pas. Enfin, on sait jamais...
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Re: I- Salut, j'suis ton coloc ! Ah, Adsila ? T'inquiètes, c'est un loup mais... un loup gentil ! [PV : Mady ~]

I- Salut, j'suis ton coloc ! Ah, Adsila ? T'inquiètes, c'est un loup mais... un loup gentil ! [PV : Mady ~]
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