DM - En recherche d'emploi Messages : 3
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rainie — you let me in, don't leave me out. Sam 21 Aoû - 17:37 | |
| Rainie Na Yung Olivieira ▬ âge : 24 ans. ▬ date de naissance : 1er Mai 1992. ▬ nationalité : Argentine (mais d'origine Coréenne également). ▬ classe : anciennement étoile. ▬ études : diplômée de bi-licence d'astronomie & biologie moléculaire ; mineure sciences du langage (oui ça n'a rien à voir). ▬ métier : elle cherche. ▬ date de réception de la lettre : 15 Octobre 2007. particularités ● elle est rousse à la base mais se teint précautionneusement les cheveux en vert ; ● ses yeux sont d'une couleur Hazel très claire ; ● elle possède un tatouage sur son bras gauche disant « élans de vie, murs oubliés. libre. » en Coréen, un autre dans son dos représentant une boussole liée à un attrape-rêve ; elle a également une autre phrase en Coréen au-dessus de son sein droit... qu'elle cache habilement et dont elle refuse de partager la signification, Leslie étant le seul à la connaître. Le dernier en date est un « vacilante pero resplandeciente. » au-dessus de son attrape-rêve. ● elle mesure 1m65 donc ne lui dites pas qu'elle est petite sinon elle vous explose le tibia ; ● elle a une cicatrice sous le sein gauche et se cache loin des bikinis pour ça. ● un joli accent brésilien traîne à la fin de ses phrases. | blood code Un pouvoir inutile ? Elle se l'est souvent dit. Sans pourtant s'en plaindre. Son don n'est qu'un passif qu'elle n'emploie qu'en cas d'extrême urgence et qui lui pourrit plus souvent la vie que l'inverse. Principalement en raison du fait que son corps n'accepte aucun corps étranger, quel qu'il soit. Les médicaments ? L'abruti qui parle dans sa tête les élimine, sans sommation. Les tatouages ? Si vous saviez durant combien de temps elle a du tenter de le convaincre... ses parents eux-mêmes se sont montrés bien moins réticents. Pourtant, il n'est là question que d'un inconvénient - majeur, si vous voulez son avis - pour un pouvoir qu'elle se garde bien de mettre en avant. Capable de modifier son groupe sanguin au gré de ses envies, Rainie jouit, de surcroît, d'une hémoglobine aux capacités parfaitement curatives, pour peu qu'on l'injecte au malade concerné. Mais malheureusement pour elle, et pour vous, la quantité de sang nécessaire sera proportionnelle à la gravité des troubles qui vous accablent et, qu'on se le dise, Rainie ne se mettra en danger pour - presque - personne. Les rares personnes au fait de cette capacité la surnomment par ailleurs « le Doliprane » et si elle s'évertuait autrefois à signifier que son pouvoir ne se limite pas qu'au traitement des migraines, elle a finit par abandonner l'idée de les raisonner. |
le caractère • Patiente ; Silencieuse ; Posée ; Délicate ; Respectueuse ; Sincère ; Douce ; Honnête ; Sensible. Impulsive ; Parfois un peu froide ; De mauvaise foi ; Imprudente ; Impudique ; Sensible ; Vulgaire quand elle s'énerve. • « À quoi ressemblent les étoiles, là d'où tu viens ? » « … C'est une question sérieuse ? » Le sourire délicat qui fit écho à la question qu'il lui posa parla pour elle. Elle était effectivement sérieuse. Délibérément détachée et sérieuse. Comme d'ordinaire, ses questions n'étaient pas plus censées qu'appropriées aux situations dans lesquelles elle les posait, sauf cette fois. Installée contre sa fenêtre, Rainie ferma les yeux lorsque le vent du soir vint soulever la frange battant ses cils et ne les rouvrit que lorsqu' il reprit la parole. « Elles te ressemblent, d'une certaine façon. » « Je m'attends au commentaire mesquin. » murmura-t-elle dans un sourire néanmoins parfaitement serein. « Elles sont visibles, difficiles à ne pas remarquer, mais elles brillent le plus lorsqu'elles sont sur le point de s'éteindre. » La réponse lui arracha un rictus amer et Rainie ébouriffa doucement ses cheveux avant d'un peu mieux s'installer. Sans prendre la peine de relever son erreur scientifique. « Je ne m'éteins pas. C'est même plutôt l'inverse. » « Tu meurs de jour en jour, Rainie. » Le silence qui suivit la déclaration fut aussi pesant que les mots qui lui furent lancés, mais elle ne pouvait pas le nier. « Tu es faible. Sensible, émotive, et sincère. Mais pas de la bonne façon. Si je n'avais pas une bonne raison de rester avec toi, je t'aurais déjà abandonnée. » « … C'est cruel. » souffla-t-elle en faisant la moue. « C'est honnête. Tu es mieux lorsque tu ne te lamentes pas. Presque assez pour être une Reine, ma Reine, mais tes tendances moroses sont déprimantes. » Elle ne prononça pas le moindre mot, comme pour l'inviter à continuer. Ses bras se refermèrent autour de ses cuisses et elle glissa son regard vers la Lune alors que sa tête se posait contre ses genoux. « J'aime te regarder sourire. J'aime t'entendre rire. J'aime encore plus ta délicatesse et ta douceur. La tranquillité de tes mouvements et ton honnêteté. Ton ambition et la façon que tu as de t'appliquer dans tout ce que tu fais. Tes colères sincères et ton authenticité également. Mais j'ai envie de t'arracher le cœur à chaque fois que je te vois t'effondrer. À chaque fois que tes sourires se fanent et à chaque fois que tu pleures un passé que tu ne peux pas changer. » « Ni oublier. » Son sourire reprit place sur ses lèvres. Simple. Délicat. Sincère. « J'aimerais apprendre à vivre avec. » « Fais le. » Silence. Qu'il traduisit comme un non presque hurlé. « Tu es faible, Rainie. Et curieusement forte. Tu finiras par vivre avec. » La déclaration la fit légèrement rire et elle se releva finalement de sa fenêtre pour regagner son lit, le cœur à la fois lourd et léger. « Tu as raison. » Il était une fois la vie - 2012. Cette anecdote est en hide pour prévenir d'éventuels heurts psychologiques. Si vous postez un message, vous êtes prévenus.:
- & Thank you.:
En cette chaude journée... En cette journée là d'été.
Le Juillet de mes vingt ans.
Ma mère m'a un jour dit que mon père s'était évanoui de bonheur, lorsqu'on lui avait appris qu'il aurait une fille. Qu'il avait appelé toute sa famille pour leur annoncer la nouvelle, qu'il avait même entrepris de mettre en place la décoration de ma chambre avant même de décider du prénom que j'aurais.
Rainie. Je ne sais toujours pas pourquoi ils ont décidé de m'appeler comme ça, mais je dois dire que j'aime assez.
Et sous la même effervescence et la même tendresse que celles qu'ils avaient appliquée à préparer ma venue, j'avais vu le jour dans l'une des nombreuses maternités de Buenos Aires. Sous cette même douceur, j'avais été aimée, protégée. Je m'étais épanouie de façon parfaitement sereine et, pourtant, ce qu'ils avaient construit, toute cette confiance, avait fini par être effacée.
L'entièreté de mon appartement résonnait d'un silence presque trop pesant, lourd d'un lot de souvenirs que j'essayais d'étouffer dans la mousse de mes oreillers. Arrête de pleurer. Combien de temps l'avais-je déjà fait ? Combien de temps est-ce que je continuerais ? Trop longtemps, sûrement.
« Rainie ? »
La voix de ma mère s'était élevée depuis le salon, empreinte d'une inquiétude qu'elle avait, depuis longtemps, cessé de cacher. Il ne lui avait fallu que quelques secondes pour emprunter les escaliers, à peine plus pour venir s'asseoir sur le bord de mon lit, dans ma mezzanine. Ses doigts s'étaient glissés dans mes cheveux en un geste d'une tendresse réconfortante et j'avais machinalement relevé ma tête vers elle, pour la regarder. Pour me perdre dans l'océan de douceur qu'étaient ses yeux, à chaque fois que c'était sur moi qu'elle les posait.
Tout va bien. Je suis là. Je ne bouge pas. me murmuraient ses yeux. Je t'aime plus que tout. me soufflait sa main, désormais contre mon dos.
« Je t'aime aussi. » je lui avais simplement murmuré, la voix brisée mais les lèvres étirées en un sourire plus ou moins convaincant. « Je ne pense pas... » « Je sais, mon ange. Il ne t'en voudra pas, il s'y attendait même. »
Ses doigts étaient finalement remontés contre ma joue, suivis de près par sa bouche et elle avait laissé un bref baiser contre ma peau avant de se relever, sans cesser de me regarder.
« Il faut dire qu'il n'a pas su choisir sa date. » « Je le verrai plus tard. » « Ne tardes pas. »
&&&.
19:47 m'annonçait mon réveil. J'avais dormi la moitié de l'après-midi, arrachée au sommeil par trois coups bien trop violents sur ma porte d'entrée. Et si cela n'avait tenu qu'à moi, je l'aurais gardée fermée.
« Rainie ! »
Et pourtant, bêtement, je m'étais enroulée dans mon drap pour me retrouver face à ma porte moins d'une dizaine de secondes plus tard. Un sourire léger aux lèvres et le coeur un peu moins lourd.
« … Rapha-- »
Ses bras s'étaient instantanément refermés autour de moi et j'avais maladroitement reculé, par instinct. Le mouvement n'avait pas semblé le déranger, pas plus qu'il n'avait l'air de se demander s'il avait raison de faire ce qu'il faisait. Au lieu de quoi, son pied avait naturellement refermé la porte derrière nous et il ne m'avait relâchée que pour me regarder. Raphaël.
« … T'es dans un sale état. » « J'admire la pertinence de ta remarque. Ton anniversaire ? » « Je l'ai abrégé. Je savais que tu ne viendrais pas et un anniversaire sans toi n'est pas un anniversaire. »
Son visage s'était éclairé de l'un de ses habituels sourires lumineux et il m'avait entraînée vers le canapé, avant de lui-même s'éclipser en direction de ma cuisine.
« Ta mère m'a appelé après être venue te voir. Alors j'ai commandé à manger, ça ne devrait pas tarder à arriver, j'ai tous les DVD de tes vieux films préférés dans ma voiture, même s'ils sont bizarres, et j'ai-- Rainie ? » « … Je vais me changer. Tu ne m'as pas laissée le temps de m'habiller et je suis... Je reviens. »
Pourquoi ne pas le mettre dehors ? Parce qu'il était et resterait la seule personne que je parviendrai à accepter dans mon espace vital. Peu importe ce qui m'arriverait.
▬ Elle est née d'une mère Coréenne et d'un père Argentin mais parle tout aussi bien les deux langues, quoique l'Espagnol reste considéré comme sa première. ▬ Elle a vécu entre Busan et Buenos Aires une bonne partie de sa vie. Si les premiers voyages l'ont quelque peu dérangée, elle s'y est vite habituée et aime autant la Corée du Sud que l'Argentine, désormais. ▬ Elle est entrée à l'école comme tout le monde et a suivi une scolarité parfaitement normale, quoique ponctuée de sincères félicitations pour sa persévérance et son intellect. ▬ En 2007, elle reçoit sa lettre et rejoint l'île Corail sans trop se poser de questions, bien trop terrorisée par la voix qu'elle entend dans sa tête. Sa scolarité s'y déroule pour le mieux. ▬ 2012. Année où Rainie met un frein soudain à ses études et à sa vie en elle-même. Elle disparaît pendant presque trois ans. ▬ En 2014, elle revient finalement parmi "les vivants" dans le but de reprendre sa L3 l'année suivante. behind the screen surnom ; maman. âge ; plus vieille que Rainie, hélas. comment as-tu connu le forum ; Fenrir est mon fils. OUI MON FILS. ton impression sur celui-ci ; Je l'aime. un petit mot ; Bruh. | |
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E.T. - Biologie & physique quantiques Messages : 1055
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Re: rainie — you let me in, don't leave me out. Ven 27 Aoû - 3:27 | |
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