Le jeune homme sembla soupirer, ce qui te fis hausser un sourcil : n’aimait-il pas la tour eiffel ? Paris ? Pourtant qui n’aimait pas un tel endroit ? C’était non seulement l’endroit où se rassemblait les plus grands couturiers de ce temps, mais aussi là où se trouvait la plus grande des écoles de danse, sans compter que c’était la ville de l’amour… !
Temps de choses exceptionnelles en Paris ! Que malgré son soupir, tu étais impatiente de voir si tu allais obtenir ce que tu voulais.
Vins alors le moment où il s’avança vers son caddie, et l’impatience monta d’un cran. Puis il le toucha, et là… là tu étais intenable.
Déjà, tu étais animée par la curiosité et l’enthousiasme rien qu’en voyant la boule noire flotter : ça c’était stylé et classe ! Tu avais envie de toucher la petite boule, comme si tu avais un chaton face à toi, au lieu d’un truc bizarre.
Tu t’arrêtas de t’approcher de la boule noire quand celle-ci commença à s’étirer. Elle devint alors une Tour Eiffel de la taille de l’homme qui te faisait face. Ce qui était déjà très grand pour toi !! Elle était si belle.
Tu étais toute contente et sautilla en tapant dans tes mains. Le professeur, lui, te regardait tout satisfait :
"T'as vu ? Pas mal pour un flemmard."
-Voui c’est trop bien ! Réponds-tu en souriant grandement.
Le professeur bailla, avant d’ajouter :
"Bon.. j'peux faire que cette taille car après c'trop fatiguant... Puis la flemme de faire en sorte que ça fasse 300 mètres comme l'originale quoi..."
-Compréhensible, bon bah alors allons chez vous quand vous allez faire disparaître la Tour Eiffel!
Tu pris les packets, qui faisaient plus de ta taille, une fois dans tes mains. Chose étant, le prof semblait s’être endormi :
-Heu…monsieur… c’est par où chez vous ? Monsieur !