Partagez

Zen, man, vigilant is not latin for gay.

Zena Pollione-Veleno
INK - Cancrétudiante, élue fléau des élus
Zena Pollione-Veleno
Messages : 172
Points : 511
Date d'inscription : 03/10/2019
Avatar : Anna Kyouyama - Shaman King
Pouvoir : J'aime les stats... ♥
Localisation : Derrière un livre.
Zen, man, vigilant is not latin for gay. Sam 2 Jan - 23:52

/!\ WARNING, AVERTISSEMENT, ¡CUIDADO!, ETC /!\ Cette fiche contient des sujets sensibles, stratégiquement placés sous hide quand ils sont pas assez implicites. Notez que le narrateur étant un connard, il en a forcément profité pour troller. Postes à la suite en ton âme et conscience et surtout avec ta responsabilité. Merci de ton attention. /!\ FIN WARNING, AVERTISSEMENT, ¡CUIDADO!, ETC /!\

Zena ( Murraya Kieran ) Pollione-Veleno
▬ âge : 16 ans.
▬ date de naissance : 14 février 2000.
▬ nationalité : Corallienne ( origines italiennes et australiennes ).

▬ classe : Étoile ( cancre ).
▬ études : 2ème année de cinéma.
▬ métier : Auteur ( connue seulement sous Skaði Zingiber ).
▬ date de réception de la lettre : 14 février 2000.

Particularités

☼ A toujours la même robe noire agaçante, les mêmes sandales agaçantes, le même foulard rouge agaçant et la même resting bitch face agaçante.
☼ Elle a une corpulence svelte, élancée, du haut de ses 1m87 149cm. Et elle t’emmerde. Et son IMC parfait de 21,5 aussi.
☼ Ses yeux passent du blé au noir intense, en passant par l’or, l’ambre, la noisette ( so on and so forth ) de manière incompréhensible. Peut-être que la lumière joue. Un peu. Et peut-être.
☼ Même vide, son regard est très féroce.
☼ A la voix rauque, grave ( pour une adolescente ) typique des sopranos.

☼ A toujours un sac en bandoulière aux coutures usées qu’elle n’a jamais consenti à repriser. Et t’as pas idée des trésors qui s’y cachent. Jusqu’à ce qu’elle te les montre, évidemment.
☼ Elle a toujours deux couteaux sur elle. Planqués. Pas dans son sac en bandoulière, non...
☼ Elle fait une arythmie particulière, les médecins la tannent pour faire des recherches sur son cas car il est incompréhensible. Son tuteur légal s’y oppose farouchement et ça l’arrange bien ; elle aime ni les dépenses d’énergie inutiles ni dépenser son énergie gratuitement ( ... il paraît ).
☼ Elle a un tatouage en construction dans sa nuque qui est caché derrière ses cheveux.
☼ Elle a une résistance à la douleur qui est phénoménale même si elle envisage de faire un génocide des coins de table/chaises/murs/buffets/meubles/poteaux/etc. Qu’ils arrêtent de vouloir lui caresser la hanche ou la câliner passionnément, elle est pas consentante merde.


J’aime les stats... ♥

Au-dessus de chaque être ( vivant ou non, organique ou non ), Zen’ voit des statistiques. Elles lui indiquent l’identité, la date de naissance, le lieu de naissance, les circonstances de la naissance, les parents, la composition ( changeant suivant l’être statsitisé ), le danger que l’être représente pour elle, l’aide qu’il peut lui apporter, la date de mort, le lieu de mort et les circonstances de la mort. Un peu comme un MMORPG, quand tu prends connaissances des statistiques d’un personnage avant de l’adopter. Zen, elle, a ça en permanence et pour absolument tout. Elle voit toujours l’identité d’une personne flotter au-dessus de sa tête avec, en dessous, sa date de naissance, sa date de mort et un petit « [+] » ; si elle clique dessus ( à distance, ça marche tant que le geste de ‘cliquer’ comme sur un écran tactile est fait ), le reste des statistiques lui seront données. Cela vaut aussi pour les objets ou tout ce qui l’entoure.

Ses inconvénients ? Mhm, la fatigue, un mental pas sain, les migraines, un sommeil proche du néant, des saignements sans doutes ? Eh bien non, du tout – encore que, discutable pour un élément. Zen n’a pas de chance car, son inconvénient, c’est l’inconvénient absolu. Rarement avantage, forcément inconvénients. La Charte. La Charte est un ensemble d’articles régissant son pouvoir dont la Charte est la seule maîtresse. Elle peut en ajouter, en supprimer, en modifier à sa guise, avec ou sans la volonté de Zen. Le but de la Charte est de réguler le don de notre Corallienne mais avant tout de lui pourrir la vie. La Charte a sa propre personnalité, sa propre philosophie, sa propre volonté, sa propre voix ( que tout un chacun n’entend que quand Zen a dérogé à l’un des articles de la Charte ). Voici une sélection d’articles rien que pour tes beaux yeux, avec ses alinéas vu que je suis d’humeur généreuse.

''Article 0'':

''Article 1'':

''Article 2'':

''Article 4':

''Article 7'':

''Article 9'':

''Article 78'':


My {a}personality

Je suis passé à la première personne, oui. Kestuvafer.

Qu’est-ce que tu veux savoir sur moi ? Je suis fausse, vide, dépourvue d’émotions et de raison ; je n’ai jamais eu de caractère et n’en aurais jamais. Plaît-il ? Nous avons tous une vie intérieure, des passions qui nous émeuvent, nous font éprouver des trucs ( wow, moi qui lis William Blake je suis impressionnée... ), des sentiments qui nous transportent ? Garde ça pour quelqu’un qui a une vie ; je n’en ai pas. Je suis vide, pas entière. ‘faut savoir faire attention à ce que les gens disent... même si j’suis pas un gens. Certes.

... et c’est tout ?

Eh, j’ai réussi à maquiller du vide avec six lignes.

... certes.

Comment c’est susceptible...



Ma vie passionnante, trépidante, émouvante...

Je stagne.

Qu’est-ce que ma vie ? Ai-je jamais eu une vie ? Sais-je seulement ce que signifie ‘avoir une vie’ ?


Je stagne. Là, alors que j’ai le papier qui me démange dans mon sac en bandoulière, que je suis autour d’un feu de camp pour la nuit de Yule ( la fertilité ? Le renouveau ? Je sais plus. L’ai-je déjà su ? ). Je stagne. Là, alors que j’ai un bâton piqué d’un chamallow délicieusement fondant à la couche externe croustillante, un autre parfaitement caramélisé et le dernier cramé. Je stagne. Là, alors qu’on vient de jeter mon romarin au feu, qu’on vient de jeter ma myrrhe et ma pomme au feu, qu’on vient de jeter beaucoup de choses au feu sans que je ne m’en offusque. Sans que je réagisse. Sans que je sache si j’étais d’accord ou non. Sans que je sache si ma vie venait de défiler sous mes yeux ou non.

Je stagne.

Qu’est-ce que ma vie ? Ai-je jamais eu une vie ? Sais-je seulement ce que signifie ‘avoir une vie’ ?


Je regarde tout se consumer, entends les éclats de rire des autres enfants sans parvenir à les écouter, ramène mon bâton à mes lèvres et mange les sucreries dans l’ordre décroissant. Les deux animateurs arrivent, essaient de m’encourager à sortir de mon coin et surtout à m’éloigner du feu qui crépite à moins de quatre centimètres de mon visage sans arriver à me déraciner. Ai-je envie d’avoir une vie ? Là est la vraie question. Ai-je seulement envie de vivre ?

*As-tu seulement le choix ?*
*Oui.*
*Non.*

Je stagne. Les autres enfants rient, comparent leurs grillades, il y en a même un qui pleure parce qu’il s’est envoyé son chamallow brûlant dans l’oeil et vit ce moment comme son dernier. Puis je vois mon journal intime, lancé maladroitement, se faire lécher par les flammes. Là, juste sous mes yeux. Et là, je me sens offensée. Enfin, je crois. Je n’ai même pas le temps de me sentir offensée. Ai-je été offensée ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi pas avant ? Et, avant tout, pourquoi me suis-je senti offensée ? Est-ce seulement moi qui me sens offensée ? Ai-je seulement ressenti quoi que ce soit ? Mon portable vibre, je le sors et le déverrouille. C’est l’autre. Ma tutrice légale. Ma tante. Une erreur de la nature que cette femme.

« Coucou ma chérie ! Tu vas bien ? Tu t’amuses bien ? Ça se passe bien ? Tu t’es habillée correctement hein, pas avec ce pantalon tâché de propolys là......»
▬ 19:54:59

« Tellement bien que je me demande comment et pourquoi je me suis ratée à trois ans. »
▬ 19:55:05

Je stagne. Et j’expire bruyamment. Je me lève, indifférente au feu qui ne me brûle même pas malgré sa proximité, et je m’en vais. Les enfants font trop de bruit, les animateurs ne servent à rien et le seul intérêt à ce tintamarre est désormais dans mon estomac. Je stagne, putain. Je ferme les paupières, fouillant dans mon sac en bandoulière aux coutures usées tant il est greffé à mon flanc, et en sors le papier sur lequel mes yeux s’ouvrent. L’enveloppe. Celle dont la famille de mon père m’a tant parlé tout en me défendant de l’ouvrir. Si je les ai écoutés, c’est seulement parce que je sentais que ce n’était pas encore le bon moment.

Sauf que là, je stagne. Trop. Beaucoup trop. Est-ce un signe pour me dire que c’est le bon moment ? Je fais rouler le papier entre mes doigts. C’est un signe. Je vais dans ma tente, rassemble mes affaires et ouvre l’enveloppe pour la première fois. Je lis tout, remplis tout ce qu’il y a à remplir et ressors de la tente le lendemain, à dix heures tapantes. Après avoir réussi à négocier ma nuit d’insomnie avec l’autre. Mon sac de randonnée bien calé sur le dos, je bénis la Cocotruc de pouvoir amener toutes les affaires que je n’ai pas pu emporter dans ma future chambre. C’est que c’est pratique, cette Cocotruc.

- Qu’est-ce que tu fais, Zena ?
- Je pars.
- Zena... commence le gland avec un ton paternaliste et doux. Tu n’as que dix ans. Où comptes-tu aller ? Tu n’as même pas pris de petit-déjeuner...

Vas-y, du gland, sers-moi tes phrases toutes faites récitées en mode auto qui ne te convainquent même pas. pensé-je en gardant ma resting bitch face. Et c’est quoi cette manie de rabaisser quelqu’un à son âge ? Je suis sûre qu’il ne sait même pas qu’il va crever par asphyxie à cause d’un rhume trop envahissant qu’il n’a pas dû soigner parce que « boarf, c’est juste un rhume, ça passe » à soixante-huit balais, ce gland. Un instant, est-ce que j’ai vraiment dépensé de l’énergie pour ce gland ?

. . .
Il a de la bouffe sur lui, au moins ? Ah, un paquet de chamallows.
Nickel.

- Je suis prête.

Je monte dans le Train sans m’attarder sur le gland hébété qui murmure un ‘elle a disparu... que... elle a dis-’ enrayé. Je présente mon enveloppe, puis ma lettre, puis mon billet au conducteur, découvre un passeport dans mon enveloppe au passage ; tout se range dedans, je remets mon enveloppe dans mon sac en bandoulière, chipe un premier chamallow, sors mon carnet à idées et mon stylo à idées et je me mets à écrire. De la merde mais c’est pas grave. Avant d’écrire de la non-merde, on écrit forcément de la merde. À supposer que j’ai déjà écrit autre chose que de la merde mais ce n’est pas un débat intéressant. Parce que ce n’est même pas un débat.

Quel que soit l’endroit qui m’attend, je vais changer. Parce que j’ai décidé de changer.
Encore faudrait-il que je sache qui je suis pour changer. Suis-je seulement ?

*Notre accord, Zen. Une fois dans le Train, tu dors quatre heures d’affilée et cette nuit tu dors huit heures.*
*La ferme face d’endive.*
*Wow. Quelle inspiration...*

Je cale mon sac de rando face à moi et je m’allonge sur le coussin à côté de moi. Ou le siège. Ou alors j’ai calé ma tête sur le gens à côté de moi. Sauf qu’il n’y a personne à côté de moi. Enfin je crois...

***


► Est née dans une famille banale ; sa mère, australienne, était télépathe en plus d’être un centre de télépathie et son père, italien, avait le même don que sa fille, en moins puissant.
► Ses parents se sont occupés d’elle, lui ont appris énormément de choses, en particulier son père – parce qu’il était moins pris par son travail.
► Son père a eu un grave accident de voiture aux trois ans de Zena alors qu’il ramenait les cadeaux de noël. Ils sont bien arrivés à bon port mais sans son père.

► Elle n’a pas quitté son père dès qu’elle a été en état de s’exprimer et de bouger après ça, jusqu’à ce qu’il fût autorisé de quitter l’hôpital deux ans plus tard. Lire, manger, faire du sport... elle faisait tout à ses côtés. Excepté quand il lui demandait d’être seul, même si elle sait qu’il le faisait quand il sentait qu’elle en avait besoin mais ne le disait pas.
► Au Noël de ses sept ans, toute sa famille maternelle a péri dans un incendie. Elle en est la seule rescapée, parce que ses parents l’ont protégée.

► Elle déteste Noël depuis même si elle offre des cadeaux de noël à la ‘famille paternelle’ – qui lui a évidemment mis le grappin dessus. Et ce n’est pas pour le plaisir d’offrir ou de la tradition qu’elle le fait, oooooh que non.
► N’a même pas conscience de la gravité de ce qu’elle a subi avec la ‘famille paternelle’ tant elle s’en fiche royalement. Elle n’a, à aucun moment, écouté la ‘famille paternelle’ ; ou, si elle le faisait, c’était uniquement parce qu’elle en avait déjà décidé ainsi elle-même.
► N’a pas été scolarisée, a eu droit à la panoplie de professeurs particuliers. Il n’y en a qu’un seul qui l’a marquée, parce qu’il lui apprenait en se basant sur ses domaines d’intérêt, soit l’ésotérisme et la spiritualité. Aucun jugement. Enfin, le positif dans tout ça c’est qu’elle n’a pas cessé d’apprendre sans devoir se conformer à un niveau n’étant pas le sien.

► Son père, prévoyant, lui a filmé toute une panoplie de vidéos pour lui expliquer son don ( entre autres ). Il a sauvegardé les vidéos sur huit clefs USB, un ordinateur, deux portables et trois disques durs externes. Elle les a tellement visionnées qu’elle les connaît par coeur, ce qui ne l’empêche pas de garder tout ce matériel... dans un coffre-fort verrouillé et planqué dans elle-ne-sait-plus quelle ville d’Australie. Était-ce seulement en Australie ? Elle se rappelle juste que ce n’est ni en Italie, ni sur l’île. Elle n’est pas aussi prévisible.
► Son don l’a détachée de tout mais son père, même après sa mort, l’a damnée sur Terre. Elle ne le blâme pas ; elle n’en voit ni l’intérêt, ni l’utilité. Quand il est mort, son don s’est mis à devenir de plus en plus puissant et donc de plus en plus contraignant. La Charte est insupportable. Zen l’appelle souvent l’autre, la pute, la chose, truc, muche, connasse et tous les mots qui peuvent lui passer par la tête ( mayonnaise, putain, mot, salope, pute, j’ai faim ( je t’emmerde bis ), hé, oh, ( ah ih yh uh uhu ), colle, pute, bref... ).

► Elle a d’ailleurs commencé à publier un recueil de nouvelles à ses sept ans ( sous pseudonyme évidemment ), avec sa mère comme éditrice, sous l’impulsion de son père ( et de sa mère mais surtout de son père ). Quelqu’un d’aussi compétent et concerné qu’elle a pris la suite, sans aucun jugement sur son âge et ayant compris toutes les annotations laissées par sa mère sur la trilogie que Zen travaillait. Trilogie qui a commencé à être publiée à ses onze ans. Le dernier roman qu’elle a publié, ‘À demi-mots...’, a eu un succès énorme et beaucoup réclament une suite, ou qu’elle en fasse au moins une autre trilogie.
► Elle n’a toujours pas révélé sa vraie identité, ni que son nom de plume est... un nom de plume, ni son visage, ni quoi que ce soit d’autre. Elle publie juste quelques informations sur Instaflûte et Flûtter, bien qu’elle n’ait jamais révélé d’informations privées. Cela fait maintenant un an qu’elle gère elle-même le site de l’Aquacée, la trilogie qui a achevé de la faire connaître du grand public, avec les deux fans qui l’ont créé.
► Certains de ses fans déplorent l’absence d’adaptation cinématographique de l’Aquacée et elle n’a jamais répondu à ça, même indirectement. Ni dit qu’elle compte réaliser, jouer – un rôle secondaire très secondaire plus important qu’il n’y paraît – et adapter sa trilogie elle-même, ce pourquoi elle a décliné toute offre d’adaptation jusqu’à présent. Et si tu penses que c’est la raison officieuse du pourquoi elle est en cinéma, relis son caractère, t’as loupé un passage.

►Elle est arrivée à Merille à 10 ans, rentrée en quatrième dans la classe étoile. A réussi à changer d’élu deux fois en 45 jours, record de l’académie, tellement elle est une cancre compliquée. Le premier n’a pas supporté qu’elle lui explique par a+b qu’une condensation solide n’est pas l’autre nom d’une sublimation mais son inverse – elle le savait à six ans, c’était pas un abruti qui allait remettre une certitude en question –, entre autres des choses sur lesquelles elle l’a taclé, et le deuxième n’a pas aimé connaître la date de sa mort, ce qui est rédhibitoire chez elle.
► A fait partie de ces personnes insupportables qui peuvent avoir des 20 sans bosser et avoir des 0 sans bosser – ce qui semble déjà plus évident. Ses notes ne dépendaient pas d’elle mais des défis qu’on lui donnait ( avoir 11 de moyenne en anglais, etc ), sauf pour la physique-chimie, le français, les compositions ( de géographie donc ) et au lycée la philosophie. Hors sujet mais elle considère que Socrate, Platon, Sénèque, Descartes, Nietzsche, Schopenhauer, Hume, Bergson et Hegel sont surcôtés et est prête à débattre avec n’importe qui lui disant que Kant ou Freud ont eu une quelconque utilité. Débattre ou allumer sur la place publique, au choix. Elle aime vivre dangereusement.

► N’a jamais abandonné toutes les activités auxquelles ses parents l’ont initiée mais est abominablement précise et pointilleuse sur le respect de ces dernières. À propos, elle t’a dit qu’elle est médium et qu’elle magnétise – entre autres – ? Non ? Bon, tu le sais. Et non, ce n’est pas son don bande de retournés des rétines, c’est son... intuition. Entre autres. Pour faire archi court. Vu que si elle te dit que son chakra couronne, du troisième œil, du coeur et racine sont blindax mais que son chakra du coeur est déconnecté de tout le reste tu vas même pas capter ce que ça signifie. Elle, méprisante ? Non. C’est juste un fait. T’as compris ? Non. Bon. Suivant. Et, si tu préfères, elle est ‘spirituelle’. À se demander pourquoi elle ne parle pas de ça tiens... Ah, peut-être parce qu’elle s’attend à un ‘tu dis que ton père est ton esprit protecteur juste parce que t’as toujours pas fait ton deuil’. Peut-être ouais...
► S’entend étonnamment bien avec Innocenza et Catherina, peut-être parce que la blasée et l’inexpressive collent bien avec la vide ; surtout parce que, entre celle qui s’étonne de rien et celle qui en a rien à foutre de ta tronche, elle allait forcément y trouver son compte.
► Innocenza l’autorise à assister à certains de ses cours, quand Zen le lui demande en gros, et Catherina compose des musiques qui l’inspirent. Zen a déjà demandé à Catherina d’être la compositrice de ses futurs films et Cath’ a accepté. Idem avec Neal pour les costumes. Elle souhaite engager Ammaruq pour les décors mais préfère le faire quand le projet sera plus concret. Même s’il l’est déjà. Innocenza l’a d’ailleurs aidée pour le scénario du dernier tome de sa trilogie, après lui avoir montré par a+b qu’il y avait une incohérence dans le caractère de trois de ses personnages – même s’il y en a techniquement quatre mais la quatrième est voulue et facilement justifiable.

behind the screen
surnom ; Cheshire's smile
âge ; Dragon n°17
comment as-tu connu le forum ; Pingouins
quels sont les points forts et points faibles du forum selon toi ; La communauté et le Dirlo.
un petit mot ; Je préfère te prévenir ; rp avec Zena est très simple... mais le rp peut se terminer brutalement. Je ne peux poster qu’une réponse... ou en poster vingt-sept alors que je n’en envisageais pas plus de trois. Je ne peux rien prévoir avec elle. Et ce n’est pas à mal prendre, c’est juste que bah... bah c’est Zena. /out
Zen, man, vigilant is not latin for gay.
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Merille Academy :: Registres :: Présentation :: Les présentations validées-
Sauter vers: